Troisième partie de l’exercice de style : et si Albert Londres était passé par Mâcon pour en dresser le portrait en 2022 ? Comment aurait-il apprécié la ville, lui qui en tant que journaliste expliquait que « notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie » ?
La Saône est là, lente, lourde, elle est dans toutes les têtes. Des fenêtres de l’hôtel dans lequel je suis descendu, elle donne au matin toute sa puissance, une brume (...)
Un centre-ville commerçant qui souffre mais les parkings des zones commerciales extérieures ne désemplissent pas. Des pots d’échappement toujours plus nombreux, mais choisir le vélo ou le bus est bien compliqué. Les modes et destinations de la circulation dans Mâcon méritent qu’on s’y attarde. (...)