Dernière partie de l’exercice de style : et si Albert Londres était passé par Mâcon pour en dresser le portrait en 2022 ? « Je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de choeur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de rose. » (Terre d’ébène)
Car la ville souffre d’être ni trop grande ni trop petite, c’est une ville de passage, dans laquelle on passe aussi lentement que l’affluent. Il n’y a pas de vieilles (…)
Troisième exercice de style dans l’Indépendant mâconnais, se mettre dans la peau de Charles Péguy pour parler de Mâcon, sans concessions...
Avertissement préalable et nécessaire au lecteur
Quand on imagine Charles Péguy (1873-1914) se préoccuper de Mâcon, on ne peut essayer de reprendre son (…)